Ce lundi 17 mai 2021, le forum des jeunes africains pour la promotion de l’union africaine (FJAPUF), a organisé une conférence de presse à Conakry. Une occasion qui a permis aux organisateurs de présenter un rapport aux hommes de médias dans lequel ils soupçonnent certaines organisations de la société civile guinéenne d’avoir des relations dangereuses avec certains partis politiques. Du moins, c’est ce que Mohamed Cherif, président du FJAPUF évoque et est revenu largement en détail sur les rapports des ONG internationales qui accablent l’Etat guinéen en matière de violation des droits humains.
Réaction : « C’est un rapport qui parle sur les relations entre les partis politique et organisation de la société civile, c’est une relation très dangereuse. Nous avons enregistré des réponses venant des organisations internationales comme le Hunan right wtch, Amnesty International qui dressent souvent des rapports sur la Guinée au niveau international pour pouvoir évaluer le pays sur divers thématiques.
Donc pour nous, il était important d’attirer l’attention de l’opinion nationale et internationale sur les méthodes utilisées par ces organisations internationales tels qu’Amnesty internationale, human right wtch, feel et tant d’autres pour démontrer au public à travers la comparaison sur le rapport qui a été présenté en Côte d’Ivoire et sur la Guinée, nous vous avons montré une étude comparative qui nous montre et démontre sincèrement il y a un parti-pris et sinon un déséquilibres sur la procédure .Vous n’êtes pas sans savoir que la Guinée et la Côte d’Ivoire ont connu la même situation.
Nous demandons de mener des enquêtes sérieuses et de mener des enquêtes même sur leurs représentant locaux avant de pouvoir apporter des jugements ou de pouvoir dresser des rapports sur la Guinée. Nous nous sommes rendu compte avec plusieurs communications que le gouvernement a eu à faire sur les sites internet que le gouvernement a plusieurs fois communiqué sur les cas de morts lors des manifestations politiques qui ont suivi les élections, mais très malheureusement les communications du gouvernement ne sont pas prises en compte moins encore celles ou des avis des organisations qui ont opté en faveur du changement de la constitution à la différence du FNDC, qui s’était totalement opposé et malheureusement vous allez remarquer que la plus part de ces organisations qui travaille avec Amnesty Internationale ou human right wtch sont membres du FNDC donc pour nous, il est important de venir devant le public pour dénoncer ce dénigrement en vers l’Etat guinéen», a réagi Mohamed Chérif président du forum des jeunes africains pour la promotion de l’Union africaine (FJAPUF).
Propos recueillis par Talibé Bah
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