De nombreux organismes internationaux sont infiltrés par le régime du Maroc, soutenu par l’entité sioniste, et par le black-out et la censure opérée par les lobbys sionistes au niveau des moteurs de recherches, à l’instar de Google au sujet de l’explosive situation au Maroc, ou le peuple marocain est à la rue quotidiennement pour dénoncer le palais royal, quant à la normalisation de ses relations avec l’État hébreu, les restrictions sanitaires, via l’exigence du pass sanitaire, la reprise coûteuse de la guerre au Sahara Occidental, et surtout l’effondrement du pouvoir d’achat des marocains très affecté par l’impact du Covid-19 sur le tourisme, un des principaux secteurs générateurs de revenus au Maroc en plus du trafic de drogue.
Pour faire face à l’imminence de la chute du régime de sa Majesté, le régime du Makhzen bat ses cartes en matière de désinformation et ses fakenews. Ainsi, et après ses découvertes ubuesques des gisements pétroliers et gaziers, de la petite entité pétrolière britannique, dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas les 250 mille livres Sterling, et son propagandiste gazoduc avec le Nigeria, dont l’impossibilité de concrétisation, est confirmée par les experts internationaux les plus crédibles, se référant à sa rentabilité, le coût exorbitant du projet, en plus de la conjoncture géopolitique défavorable, voilà que le Makhzen « soudoie » une agence de renommée mondiale, spécialisée dans les indicateurs économiques pour véhiculer des mensonges. Algérie54 mets l’accent sur les conclusions l’index Mundi, qui classe le Maroc au même rang d’égalité que la Suède sur l’indice de pauvreté. (https://www.indexmundi.com/g/r.aspx?v=69&fbclid=IwAR1WnbrhAWkOm_9KkLij9D3h5DyrDTxuCdHlWzbw9P98XAZIemGBrURhovc)
Un mensonge de l’index Mundi qui dépasse toutes les frontières, et qui ne peut occulter une réalité proche, à savoir l’effondrement de l’économie marocaine, dans le sillage des faillites imminentes des banques marocaines. Interrogé par nos soins, l’expert international en bourse et énergie,l’Algérien Nouredine Leghliel ;établi en Suède, estime que le Maroc ne lésine pas sur les moyens propagandistes et mensongers, pour induire l’opinion publique marocaine en erreur, au sujet de la réalité économique de son pays. Et pour réussir son mensonge, le Makhzen, soutenu par l’entité sioniste,fait appel aux géants de l’information, non seulement en Afrique et Monde arabe mais aussi à des médias de la Mainstream orientés vers des agendas bien déterminés, pour soigner son image, et s’attaquer à l’Algérie, dira Nouredine Leghliel.
Notre interlocuteur, qui encense généralement les conclusions des organismes internationaux comme la Banque Mondiale et le FMI, semble convaincu de l’infiltration du Makhzen, dans l’élaboration de certains rapports, comme celui de l’index Mundi, ou même le dernier rapport de la Banque Mondiale sur l’Algérie. Nouredine Leghliel, en fin connaisseur de l’actualité financière nous révèle que le texte du rapport de la Banque Mondiale version anglaise, est relativement différente de la version française. Pour Nouredine Leghliel, le rapport n’a pas été totalement alarmant, car il contient de nombreux indices encourageants, mais son interprétation par les ennemis de l’Algérie et ses barbouzes se limitaient aux indices de l’inflation et la pauvreté. Deux indices défavorables non seulement pour l’Algérie, mais pour l’ensemble des pays du monde, à cause de la hausse des prix des produits de matières premières et les effets néfastes de la pandémie du Covid-19 sur la préservation des postes d’emplois. Cela frise le ridicule et la risée, selon Nouredine Leghliel, qui estime que classer le Maroc avec la Suède au même rang sur l’indice de pauvreté établi par Index Mundi,c’est à dire le 15ème rang mondial, discrédite cet organisme, et met en suspicion les conclusions des organismes liés aux institutions de Bretton Woods. Comme classer un pays comme la Suède qui n’a pas de SDF, et qui assure à tous ses habitants une prise en charge sanitaire et éducative, avec un pays comme le Maroc ou le taux d’alphabétisme est très élevé, en plus démuni d’une politique sanitaire fiable, comme l’indiquent les chiffres publiés même par les organismes marocains.
Se référant à Observatoire marocain du développement humain (ONDH),un Marocain sur deux se considère comme pauvre,selon une étude établie par l’office qui a mesuré le niveau de pauvreté au royaume, entre 2012-2019, avant la pandémie du Covid-19.
Le chômage des femmes –mulets
Pour en répondre aux désinformations véhiculées par l’appareil propagandiste affilié au Makhzen, qui ne cessent de faire l’éloge du régime du Makhzen, Algérie 54 a jugé utile de les rappeler les conditions inhumaines des femmes marocaines, notamment celles appelées femmes-mulets et qui ont été contraintes au chômage, à l’occasion de la politique d’agression qu’exerce le régime marocain avec ses voisins.
Après la fermeture du poste frontière entre le Royaume et l’enclave espagnole de Ceuta, celles qu’on surnomme les « femmes-mulets », ces esclaves des temps modernes, sont désormais au chômage.
https://information.tv5monde.com/video/maroc-les-femmes-mulet-desormais-au-chomage
Le PAM dément la Banque Mondiale
L’Algérie a été classée par le Programme d’alimentation mondial (PAM) des Nations unies, première en Afrique en matière de sécurité alimentaire.
Dans sa dernière cartographie de la pauvreté, publiée récemment sur son site web, le PAM a classé l’Algérie dans la catégorie des pays dont le taux de personnes sous-alimentées est inférieur à 2,5% de la population totale, durant la période 2018-2020. Elle est le seul pays en Afrique à ne pas dépasser ce seuil.
Ainsi, l’Algérie est répertoriée dans la même catégorie que la majorité des pays européens, des États-Unis, du Canada, de la Chine, de la Russie, du Brésil et de l’Australie, entre autres.
En Afrique, le Maroc est classé dans la deuxième catégorie qui regroupe les pays dont le taux de la population touchée par la sous-alimentation varie entre 2,5 et 4,9%.
Une mise au point légère
Au moment où la Banque Mondiale tente de défendre vient de publier une mise au point au sujet de son rapport sur la situation socioéconomique en Algérie, en axant sur la compétence de ses rédacteurs, il est légitime de s’interroger sur le rôle joué par la marocaine Karima Ben Bih spécialiste de la gestion des risques urbains et naturels et de chef d’équipe de projet au sein du pôle Développement urbain, gestion du risque de catastrophe, résilience et foncier à la Banque mondiale. Comment peut-on accorder de crédit à un rapport rédigé par un de ses membres, dont les spécialités ne correspondent pas au profil requis à savoir un spécialiste en finance et plus précisément tout ce qui est lié aux indices macroéconomiques.
Cela confirme la légèreté d’un rapport, dont le principal acteur est le tunisien Farid Belhaj vice-président de la Banque mondiale en charge de la région MENA, (lire : https://www.aps.dz/economie/133749-rapport-errone-de-la-banque-mondiale-sur-l-algerie-rien-d-etonnant)