Il est difficile de dire que ces violences ne sont pas des conséquences politiques directes, en lien avec des questions relatives au projet de la nouvelle Constitution et la lutte du FNDC contre un éventuel troisième mandat de l’actuel président guinéen Alpha Condé.
Dans la nuit du mardi à mecredi 22 janvier, des inconnus ont brûlé plusieurs véhicules à la « casse » Madina, l’endroit où certains particuliers vendent des pièces détachées. Le ministre de la Sécurité et la protection civile, Albert Damantang Camara, a pour sa part, promu les victimes que les enquêtes seront faites ; le gouverneur de la ville de Conakry, Mathurin Bangoura, n’est pas resté les bras croisés, lui aussi, a sensibilisé les victimes de ces actes criminels – et que les enquêtes seront faites pour trouver les coupables.
Dian BAH